J'ai eu une dur journée aujourd'hui, je me sens mal, j'ai un sentiments de vide qui ne m'a pas quitter de la journée, j'avais beau me concentrée sur mes devoirs, rien à faire mon ange gardien occupe en permanence mon esprit. La mort de mon père adoptive met un peu rester en travers de la gorge, bien que je comprenne qu'il voulais rejoindre celle qu'il aimait. Je connais sa douleur, je l'ai traversé aussi puisque dans un sens j'ai perdu ma nouvelle mère moi aussi. J'ai du prendre sur moi, apprendre à vivre toute seule. J'ai eu dur, mais j'y suis arrivée.

Je sort des cours, je me dirige vers l'endroit ou je travail à trois quart de temps comme serveuse, je ne gagne pas grand chose, mais juste assez pour payer mon loyer et survenir à mes besoins et puis de temps en temps, j'ai Avery qui m'aide, bien que j'aime me débrouille par mes propres moyens.

Il y est 22 heure quand je termine enfin ma journée, je n'ai qu'une envie, c'est de rentrée et allumée la bougie pour l’appeler. J'ai tellement besoin de lui, d'entendre ses paroles se murmuré à mes oreilles. J'ai besoin de lui à mes cotée, c'est comme-ci je n'arrivais plus à respirer.

Je pousse enfin, la porte de mon studio, range mon manteau au porte manteau, mes clef dans le petit panier prévus pour ça. Enlève mes chaussure, me dirige vers la douche, me déshabille, prends une douche, un quart d'heure plus tard, j'enfile une robe de nuit en satin bleu et me dirige vers le fenêtre pour allumé la bougie.

Comme prévus, la petite flamme vient de s’éteindre, c'est le signe pour me faire comprendre qu'il est là, il entre par la fenêtre, je l'accueil avec un souriant alors que dans ma poitrine mon coeur s'affole.

Je suis tout simplement heureuse de le revoir.

Bonjour Avery, ne t’inquiète pas j'ai mal nul pars, enfin si mais je ne sais pas si tu va pouvoir y faire quelque chose

Oui, j'ai mal au coeur, je souffre de ne pas pouvoir lui avouer mes sentiments, j'ai peur en sommes qu'il ne m'aime pas comme moi; je l'aime. Mais, il n' a pas que cela, je m’inquiète aussi. Je me demande comment va-t-il réagir en apprenant ce que je m'apprête à lui dire. Je dois préparer ma façon de lui annoncer, parce que je ne peux plus cacher ce sentiments désormais.

C'était la première fois que je voyais son visage, j'étais sous son charme, j'étais tombé amoureuse de sa voix, de ses caresses. Il le fessait souvent quand je dormais et bien qu'il se permettais que de le faire quand j'étais endormis. Mon inconscient, lui savait.

Je l'admire en silence pendant qu'il retire sa capuche, il est vraiment magnifique, j'ai remarqué son teint blafard, je sais donc qu'il est mort, je m'en contre fiche de se qu'il ai. Je l'aime davantage maintenant que je viens de voir à quoi il ressemble. Il a toujours été là pour moi, a n'importe quelle heures, que ce fut le jour ou la nuit.  Une simple bougie allumé sur le rebord de ma fenêtre et le voila qu'il apparait.

Du coup mon coeur tambourine de plus belle dans ma poitrine, c'est une douleur créer par mes sentiments pour lui. Mais comment vais-je m'y prendre pour le lui expliquée ? ça c'est un autre problème.  

Ce n'est pas une dépression, j'ai mal au coeur, Avery...

Oui, c'est ça mal au coeur, je suis amoureuse de lui...J'ai envie de lui crier, de me jeter dans ses bras. Me serrer contre lui et sentir ses bras m'entourer. Doucement, je sens sa main prendre la mienne dans la sienne et je ressens naître dans mon coeur un frison qui parcours toute ma colonne, j'ai l'impression d'avoir des papillons dans mon ventre qui de leurs ailes viennent doucement caresser l’intérieur.

Aparamant, il n'avais pas compris, enfin, si, il avait compris que j'étais amoureuse, mais pas de qui. J'avais du mal me prendre pour le lui dire. Je ne voulais pas qu'il parte, je le voulais en permanence à coté de moi. Mais, comment trouvées les bons mots pour lui faire comprendre que c'est de lui qu'il s’agit. Il me questionne, comme tout protecteur le fait, j'ai l'impression d'entendre dans sa voix un peu de déception, je qui est confirmer par sa demande.

Partir, tu ne peux pas t’éloigné de moi ! J'ai toujours besoin de toi. enfin, je veux dire par là, que je veux que tu reste, que tu continue à me protéger comme tu l'as toujours fait. Pour ce garçon, il ne sais rien à propos de mes sentiments pour lui, je n'ose pas lui dire, j'ai peur qu'il ne m'aime pas comme je l'aime et saches que personne ne te remplaceras parce que tu as une place dans mon coeur, a jamais graver.  

Et oui, j'avais les mains qui tremblait et j'avais du mal à simplement lui dire que c'était lui. Ce n'est pourtant pas dure. Dit lui " C'est toi que j'aime ". me crie une petite voix, non détrompe toi, c'est bien plus compliqué que tu le penses. Tout en prononçant mes paroles, je me suis approcher de lui, je retire sa capuche et doucement vient du bout des doigts caresser sa joues. Le contact de ma peau contre la sienne me fait à nouveau frissonné, mon coeur est en états total d'affolement...

J'avais sursauté quand il m'avait crier dessus, j'aurais du me douter, il n'avais jamais aimer que je le touche, j'avais désobéis. Je le vis s’éloigner dans un autre coin, je le suivit du regard cette fois-ci alors qu'il remettais sa capuche sur sa tête.

Puis, il s'excusa parce qu'il prétendais ne pas pouvoir m'aider, dans un sens il n'avait pas tord. Il fallait comme il l'avait dit que je trouve ce courage de lui avouer mes sentiments, mais j'avais peur qu'il s'éloigne de moi s'il savais que c'était de lui dont je parlais. Continuant à le regarder sans bouger, je ne voulais plus le mettre en colère, de toute façon mes jambes tremblaient si fort que je me retrouvais dans l'incapacité de faire un pas de plus.

Comment veux que je m'y prenne pour lui dire, si a chaque fois que j'essaie de m'approcher de lui, il s'éloigne ou pire il se met en colère contre moi...

Bon, j'étais nul. J’espérais au moins qu'il comprenait une parties, il me surveillais j'en étais certaine, il avait certainement du faire attention à mes paroles ou du moins le faire réfléchir. Je n’osais pas bouger, le fait qu'il me crie ainsi dessus m'avait fait peur, je ne l'avais jamais vu ce mettre ainsi en colère, autant que je m'en souvienne. La plupart du temps des paroles douces; jamais sur il m'avait ainsi hurler dessus. Qu'est-ce qu'il avait d'un coup ? Pourquoi voulait-il a tout prix s'éloigner de moi alors que je venais de lui annoncer que j'étais amoureuse ? Je ne comprenais plus rien. Tout ce qui me restait, c'est de lui dire, je risquais peut-être là aussi de le perdre. Donc dans un sens cela revenait au même. Je pris mon courage et m'avança vers lui, je le toucha pas cette fois-ci, je place juste en face de lui tout en plongeas mes iris bleu dans les siennes.

J'ai beau essayer de te faire comprendre, mais rien à faire, j'éspère simplement que tu ne m'en voudras pas...

Je lui souris, je m'approcha une nouvelle fois de lui, bon j'avais le coeur qui s'affolait tellement que cela me donnait l'impression qu'il allait sortir. J'avais peur qu'il crie une nouvelle fois sur moi, mais je ne savais pas comment faire autrement. Je déposa ma main sur son épaule que je remonta doucement vers sa joue, m'approchant encore un peu plus de lui, de ma main je viens descendre sa capuche et sur la pointe des pieds, je viens lui murmuré à l'oreille.

Parce que c'est toi celui que j'aime Avery...

Finis-je tout en lui déposant un baiser sur la joue.

Je ne savais pas comment il allait réagir, mais j’espérais au moins qu'il comprenait maintenant que c'était de lui dont j'étais amoureuse, je m'attendais aussi à se qu'il s'en cours, s'écarte de moi, me crie encore dessus ou que sais-je d'autres; mais j'avais trouvé le cran de lui dire.

Rester plus qu'a connaitre sa réaction.

J'avais le coeur qui jouais le tam-tam dans ma poitrine, pendant que je lui révélais que c'était de lui que je parlais dans un murmure à son oreille, doucement sur la pointe des pieds, j'étais venue lui déposée un baiser.

J'avais peur de sa réaction puisqu'il n'avait jamais aimer que je le touche, me crier dessus c’était la première fois qu'il le fessait, ce qui m'avait un peu choquée, je devais l'avouer et m'obligeait en quelque sorte de ne plus bouger. Pourtant, je ne l'avais pas écoutée cette fois-ci, je n'avais trouvée que cela pour lui confirmée ce que j’essayais de lui dire depuis tout à l'heure, ce n'est pas facile d'expliquée ses sentiments.

Pourtant, un simple " je t'aime " aurais suffit, mais quand on est intimidée par la personne en face de vous, quand on est sous son charme, je peux vous assurée que ce n'est pas facile du tout et du coup, on a tendance à tout compliquée.

Je fus surprise par sa réaction, je m'attendais à ce qu'il s'enfuit, qu'il me crie dessus, mais pas à ce qui suivit. J'étais peut-être chamboulé, mais heureuse. Je le sens attraper mes doigts de sa main et venir les caresser, de mon coté, je n'ose pas bougée. J'ai vraiment l'impression de rêver, pourtant je ne suis pas en train de rêver, ce qui se passe entre lui et moi est bel et bien la réalités. Je le regarde pendant qu'il vient déposée son autre sur sa joue, celle où je viens de déposée le baiser. Est-il surpris ? Certainement !. Il me demande de confirmé, ce que bien entendu, j'avais l'intention de faire, mais il ne m'a pas laisser le temps de faire quoique ce soit que le voila qui s'approche de moi, tout en avançant, m’obligeant de mon coté à reculer, jusqu’à se qu'on finissent par se retrouver au milieu de la pièce. Pendant tout ce temps m'a main n'a pas quitté la sienne, j'ai mon coeur qui bat à mille à l'heure, des papillons qui voltigent dans le bas de mon ventre. Sa main libre vient doucement caresser ma joue à son tour, j'ai des frisons qui me parcours tout le corps, c'est tellement magique. Je ne sais plus quoi faire, bouger ou ne pas bouger ? Encore, une fois, il me surprends, il vient doucement déposée ses lévres contre les miens, d'abords juste lèvres contre lèvres, mais le baisser s'intensifie pour terminée en baisser réel. Ses deux mains ont emprisonner mon visage pendant qu'il m'embrasse, je sais maintenant que lui aussi m'aime, cela ne fait plus aucun doute. Je passe mes mains autour de son coup pour répondre à son baiser, je suis tout simplement aux anges, c'est mon premier baisser et il est tout simplement féerique, bien que je ne sois pas dans un conte de fée. Mais les anges existent, parce que il a toujours été à mes cotés et désormais il le sera davantage.

Je rompt le baisser à contre coeur, mais j'ai besoin de reprendre mon souffle. Je plonge mes iris dans les siens, du rose vient de teindre mes joues. Je serre un peu plus sa main dans la mienne, je viens même entrelacer mes doigts avec les siens. J'ai peut-être interrompu le baisser, mais je suis rester contre lui, je ne veux pas quitté ses bras, alors que je m'y sens si bien.

Tu m'aimes alors aussi ? Je comprends ta réactions du coup, j'aurais du te le dire simplement, mais tu m'as tellement chamboulé que j'avais du mal à te le faire comprendre, que je suis amoureuse de toi, Avery.

Mes bras sons rester sur ses épaules, je viens doucement, d'une de mes mains caresser moi aussi sa joue, celle que j'ai embrassée.  Je lui souris amoureusement, j'aimerais tellement qu'il puisse entendre mon coeur danser dans ma poitrine, je prends une de ses mains dans la mienne et vient la déposé contre mon coeur. Je sais que je ne pourrais jamais entendre le sien, parce que je sais d'or et déjà qu'il est vampire, mais cela ne changera pas mes sentiments pour lui, même son passée. Je l'aime tellement, que je pourrais lui donnée mon sang pour le nourrir, ainsi cela l’empêchera d'aller chercher ailleurs...Parce que je ne peux plus vivre sans lui, il est mon oxygène qui me permet de respiré.

C'était étrange ce qui se passait entre nous, je sentais naître dans mes entrailles un désir immense, quelque chose que je n'avais jamais ressentis auparavant, il était le seul à me fait cet effet là.


Ses caresses me font chavirer, ses baisers frisonner, je sens de plus en plus naître du plaisir. J'aime ce qu'il me fait. J'aime ses mains sur ma peau, me retrouvée ainsi nu sous ses mains pour seule protection mes sous vêtements, j'ai la respirations rauque. J'ai envie de lui. C'est exactement cela, j'ai envie de l’appartenir à jamais. C'est incroyable n'est-ce pas ? Non, je suis simplement prête d'une certaine façon. Prête à me donner à lui, ce qui fait de moi encore une jeune fille vierge, je veux lui donner cette chose que j'ai de si précieux.

Mais sans que je m'en rends compte, il interrompe tout contact, ses baisers, ses caresses, je ne comprends pas. Pourquoi a-t-il fait cela, alors que j'en ais envie. Il s'écarte tout en s'excusant, je suis encore plus perdu, n'a-t-il pas envie de moi ? Mon corps lui a-t-il dégouté ? Que lui arrive-t-il ? Il vient d'avouer ses sentiments pour moi, je me laisse aller à ce que je ressens prêtes à me donner de mon pleins grès et le voila qui disparait comme un voleur.

Je suis là sur mon lit à moitié assise, ne comprenant plus rien. Je tremble, je m'écroule en pleure perdu

Avery, je t'en supplie dit moi, se qui ne va pas ? si tu m'entends, si tu es encore là, ne m'abandonne pas; si c'est à cause de si qui c'est passée, tu n'as pas a avoir peur, j'en ais autant envie que toi, j'étais prêtes, tu n'allais commettre aucun impair, mais je t'en supplie, j'ai besoin de savoir...

Mon coeur se sert dans ma poitrine, je me sens mal, j'ai envie de hurler si fort se que je ressens, mais ma gorge est en feu.  Je sais ce qu'il a besoin, c'est un vampire et tout vampire à besoin de sang. Je me lève les yeux en pleures et je m'approche de la fenêtre

Avery, si tu as faim, je sais que tu ne trouveras personne à cette heures si, je t'offre mon sang, mon coeur, de toute façon sans toi, je ne suis plu riens, alors par pitier fait moi un signe ...

Et j'attends ma main sur le coeur appuyer contre le mur de la fenêtre les larmes au yeux et espérant qu'il réapparaisse parce qu'elle a besoin de lui.

J'attends qu'il revienne, je ne veux pas qu'il s'en va. Je veux qu'il reste là à coté de moi. C'est avec un soulagement que je le vois dans le pénombre de la nuit , il a toujours sa capuche sur sa tête, je m'écarte pour le laissé entré dans ma chambre. Je le suis du regard, alors qu'il retourne dans son coin habituel. Ses questions, elles sont compréhensible, mais la seule réponse que j'ai, c'est que je l'ai ressentis tout simplement, je ne peux pas l'expliqué parce que c'est dans sens inexplicable. Je l'ai deviner tout simplement et puis il faut dire que j'ai toujours cru à ce que les autres ne croient pas, en somme je suis différentes des autres, je ne regarde pas le monde comme les autres, je le regarde avec le coeur.

Je l'ai deviner, je peux pas expliquée comment mais je peux te dire que je l'ai ressentis , tu me connais, j'ai toujours été différentes des autres

Il s'approche enfin de moi, toujours sa capuche sur sa tête, il s'arrête à un mètre, je ne supporte pas cet espace entre nous. J'avance doucement vers lui d'un pas de velours.

Tu en as besoin, Avery, s'il t'arrivais quelque chose, je ne me le pardonnerais jamais. Je t'offres mon sang, tout comme mon coeur parce que je t'aime et je t'aimerais toujours.

Je m'approche toujours un peu plus vers lui, jusqu’à ce que je me retrouve à quelque centimètre de lui, je passe mes bras autour de ses épaules et viens me serrer contre lui.

J'ai confiance en lui, comme jamais je n'ai eu confiance en quelqu'un. Il a peur, c'est tout à fait compréhensible, mais je sais qu'il arrêtera attends. Ses mains me sert tout contre lui, je sens alors ses baisers dans mon cou, ses mains sur ma peau, j'ai l'impression de défaillir. Et sans que je m'y attende, je sens une petite piqures de ses deux canines s'enfoncer doucement dans ma peau, mais contrairement à se que je m'attendais, je ne ressens aucune douleur, c'est plutôt un désir immense qui vient de m'habiter, un sentiments de bien être qui me fait ressortir de ma gorge un petit gémissement de désir. Alors qu'il s'abreuve de mon sang, je serre mes bras un peu plus contre lui, il caresses mes cheveux. Puis, ses crocs s'écarte de mon cou, il vient doucement plonger son regard dans le mien, sur ses lèvres, je vois encore coulé quelques goutes que je viens du bout des doigts sécher. Il me demande alors si ça va.

Oui...j'ai apprécier...

A mes paroles, je me sens rougir, je suis un peu gêné. Mais c'est ce que j'ai réellement ressentir du désir. Je me sert contre encore un peu plus, ses mains continue leurs caresse, je viens doucement l'embrassé à nouveau, j'ai besoin d'éteindre cette flamme qui vient de s’allumer et doucement avant de reprendre le baiser

Je t'aime ...

Je sais, je l'ai déjà dit, mais je ne peux m’empêcher de lui dire encore et encore...

Je frisonne sous ses baisers, j'ai l'impression d'avoir le corps enflamme, alors que je suis en culotte contre lui. Je le vois retirée sa longue veste à capuche, ses la première fois qu'il l’enlève, ensuite il fait de même avec son t-shirt, me fessant découvrir son magnifique torse, que je ne peux pas m’empêchè de venir le caresser du bout des doigts. Encore, une fois, il me m'oblige à reculée jusqu’à mon lit, tant m’attrapant la main qu'il caresse de son pouce. A chaque petites caresses, un délicieux frison nait dans mon être, je sens doucement le désir prendre le dessus. Je suis heureuse de l'entendre me dire ses trois mots, je t'aime Luna, ses paroles chantent à mes oreilles une douce mélodie.

Je lui souris alors qu'il continue ses caresses, ses mains basses de ma poitrine à la descende de mon dos, je passe mes autour de son cou pour l'attiré un peu plus contre moi, je me glisse sous lit tout en continuant de l'attirée encore plus. Nos corps sont l'un contre l'autre, le plaisir prends le dessus, j'ai tellement envie de lui. Ce sera à nous deux notre premières fois. Je me mets à caresser son torse, puis remonte doucement vers son dos que je caresse avec délicatesses, fessant naître à chaque caresse un frison à mon partenaire. Je viens embrasser du bout des lèvres son tors, puis remonte doucement vers son cou que j’embrasse pour ensuite venir chercher ses lèvres dans un baiser langoureux.

Je t'aime et t'aimerais toujours mon Ange...

tout en reprenant ses baisers.

Oui je certaine de se que je veux, je le veux lui, sentir son corps contre le mien, lui appartenir à jamais. Je veux que cette nuit, je lui donne cette partie de mon intimités, je veux que se sois lui le premier et le dernier. Je veux qu'il me fasse l'amour, me faire montée au septième ciel.

Je brule de désir pour lui, mon corps le réclame. Nos caresses se font douceurs, nos corps l'un contre l'autre n'attends plus qu'a s'unir pour ne former plus qu'un. Nos lèvres s'unissent dans des baisers langoureux. Je le tire vers moi, je me colle encore et encore contre son corps, lui fessant comprendre que je suis prêtes à le recevoir. Nos regards se croisent un instant et on peux y lire le désir qui nous habites. Il retire ma culotte, puis son pantalon, il vient doucement caresser ma fleur délicate du bout des doigts, augmentant le désir à chaque caresses. Je continue mes caresses, qui montent et descendent. Tantôt dans le dos, tantôt le bas du cou et puis le torse et cela ainsi de suite.

Oui, j'en suis certaine, je veux être à toi, que tu sois le premier et le dernier, apprenons ensemble et laissons nous guider par nos sentiments...

A mes paroles, je me mis à le tirer vers moi, tout en passant mes jambes autour de sa taille, je le tira alors encore un peu plus contre moi et venant l'embrasser dans le cou. Je sens son entre jambe se frotté contre mon intimité et je prends doucement son sexe dans ma main, même inexpérimentée, je le guide doucement pour l'aider à me prendre cette nuit...

Je le sens doucement déchiré ma barrière intime qui fessait de moi encore une jeune fille, je ferme les yeux un instant, laissant passée un petit cris de douleur lorsqu'il viens délicatement me déchirée, je le sers si fort contre moi, venant doucement lui griffées le dos; mais la douleur disparait doucement et laisse entrée un plaisir immense. Son regard plongée dans le mien et ses douces paroles me rassure, je viens bien, maintenant la douleur est passée, j'aime ce qu'il me fait naître dans mon corps.

Ses baisers me font encore et toujours frisonne, je le serre encore un peu plus contre moi, il entre à nouveau mais attend que la petite douleur ai disparu complétement. Je caresses son dos encore, vient doucement mordillé son oreille.

Je vais bien mon Ange, je n'ai plus mal, j'ai tellement envie de toi maintenant...

Je le tire encore un peu plus vers moi, je suis prête à lui appartenir, je veux lui appartenir pour toujours, je passe mes jambes qu'il a soulever autours de sa taille tout en me cambre lui fessant comprendre que j'étais prêtes.

Nous nous unissons enfin, nos deux corps ne formant plus qu'un. Nos coeur bats à l’unisson , ses mains caresses mon corps, les miennes font de mêmes. Nos lèvres s’unissent elles aussi dans un baiser fougueux. Je sens le désir m'habiter de plus en plus alors que les vas et viens se font de plus en plus vite, jusqu’à ce qu'on atteignons le jouisse-ment ensemble. Je suis bien, je sens ses crocs venir morde mon cou, je sens naître au contact de ses crocs sur ma gorge, un plaisir immense.

Malgré le faite que nous jouis ensemble, ses crocs sont toujours enfoncer dans ma gorge, j'essaie de lui faire comprendre que je vais défaillir, mon ralentis doucement alors que ma vie diminue peu à peu, je gesticule comme je peux, mais sa soif est bien trop puissante, puis doucement avec le peu de force qu'il me reste, je viens murmuré à son oreille dans un murmure à peine prononçable, mais j'éspère que ce murmure pourras lui faire comprendre que j'ai confiance en lui.
Ses baisers me font encore et toujours frisonne, je le serre encore un peu plus contre moi, il entre à nouveau mais attend que la petite douleur ai disparu complétement. Je caresses son dos encore, vient doucement mordillé son oreille.

Stop Avery, j'ai confiance en toi, il faut que tu arrête maintenant mon Ange...

J'ai du mal de plus en plus de parler, je me sens partir doucement, je ferme les yeux et avec se qui me reste d’énergie, je caresse ses cheveux pendant que les larmes coulent le long des mes joues....